Des taches de rousseur ou éphélides

Jenny a 29 ans, des cheveux noir de jais, et des tâches de rousseur à foison. Le jour de son anniversaire, en 2021, elle ouvre un petit restaurant de spécialités vietnamiennes à Paris. À la carte : des sandwiches vietnamiens exquis (les fameux bánh mì) et autres plats à saliver d’envie.

Le restaurant s’appelle Opla, il est situé à Paris. Pour la famille, la restauration c’est une affaire de famille : Jenny travaille avec sa tante, et sa sœur a également un restaurant dans la même rue. Globe-trotteuse et insatiable curieuse (elle a vécu en Thaïlande et au Vietnam), Jenny, dans son travail comme dans ses rituels de beauté, va à l’essentiel.

«Je suis devenue très minimale dans les produits de beauté que j’utilise et je fais très attention aux compositions, en essayant d’aller vers le plus naturel possible. Avec le restaurant, j’ai très peu de temps à m’accorder. On ne le dira jamais assez, mais la restauration c’est un dévouement de soi à 200%.»

Quand on lui demande sa définition de la beauté vraie, Jenny reflète l’ambivalence des deux cultures, française et thaïlandaise, qui vivent en elle.

«Pour moi, la beauté c’est le mélange du naturel et de l’élégance. C’est une vision assez parisienne, je pense. Il y autant de définitions qu’il y a de cultures. En Thaïlande par exemple, il faut avoir la peau la plus claire possible, et uniforme. Un teint de porcelaine.»

"En thaï, grain de beauté se dit ‘crotte de mouche’ ! C'est plutôt mal vu par les asiatiques mais heureusement les mentalités commencent à changer..."

La Gelée d’Aloès à 98% d’aloe vera bio est le soin qui accompagne Jenny partout. Le matin avant sa crème hydratante, pour soulager une brûlure (très fréquente quand on travaille en cuisine), dans la journée pour se rafraîchir après un coup de chaud... la Gelée délivre ses bienfaits. Multi-usage et pour toute la famille, tout le monde peut en bénéficier.

Pour les mains, le visage et le corps, le savon surgras Prim Aloé (avec seulement 6 ingrédients dont 3 actifs) nettoie et hydrate, en préservant le film hydrolipidique de la peau.

En Asie, les tâches de rousseur sont assez rares et les personnes qui en ont subissent encore de vieux préjugés et ont souvent recours à des soins dépigmentants. Le culte de la blancheur a la vie dure. Les taches de rousseur, appelées éphélides (quel joli nom!) sont en fait dues à un constituant de la mélanine naturellement produite par la peau : la phéomélanine. Jenny les assume pleinement et utilise des soins hydratants notamment après l'exposition au soleil, car celle-ci augmente les défenses de la peau sous l'action des UV qui se met alors à en produire davantage.

«Comme vous pouvez le constater, j’en ai beaucoup...ce qui n'a pas toujours été facile à assumer. Aujourd’hui les grains de beauté sont devenus une tendance, il y a même des gens qui s’en font tatouer ! Aujourd’hui je les aime, et c’est très bien comme ça.»